Jeudi, 8 septembre 2022

A l’attention de : Madame Ursula von der Leyen, Présidente de la commission Européenne
                                                                             

Bonjour madame la présidente,

J’essaie de faire vite, car je suppose que votre temps est compté.

Si vous demandez à un politique d’où vient l’argent avec lequel il gère le pays, il vous répondra que c’est le produit d’un travail.
Cette réponse est trop rapide… Car, comment tirer des richesses d’un travail qui ne serait pas rémunéré (esclavage moderne ou servitude moyenâgeuse) ?

Pour que le travail dégage une richesse, il faut que ce soit un échange : J’échange mes compétences avec une entité qui a ce besoin et me rémunère. A ce moment là, les deux parties s’enrichissent et il n’y a qu’à partir de ces multiples échanges que l’homme politique peut prélever l’argent pour gérer le pays. Sans ce principe d’échange pour satisfaire un besoin, aucune société n’existerait.

A partir de ce raisonnement, il est facile de convenir que le prélèvement de l’état doit être équitable au niveau de chaque échange et il n’y a aucune raison que certains d’entre eux donnent une cote part plus faible ou plus forte que d’autres, voir ne donne rien. Chacun profitant de la richesse des échanges grâce aux infrastructures financées par la communauté dans son ensemble, le prélèvement doit être égalitaire.

Malheureusement, dans nos sociétés, c’est loin d’être le cas.

C’est ce que le livre présenté s’attache à démontrer. Il propose des solutions simples. Elles peuvent être mises en place progressivement et seraient génératrices d’énormes économies de gestion.
Un voyage à travers une quarantaine de chapitres, 190 pages et de nombreux liens vers des sources fiables accessibles directement sur votre Smartphone grâce à des QR Codes.

Cordialement ; merci pour votre écoute.

Michel Suire