Présentation de l’essai.

Les hommes politiques papillonnent avec peu d’efficacité pour trouver la énième solution qui va financer le énième problème de notre société. C’est un mille feuilles monstrueux qui se redessine constamment après chaque élection et sans véritable équité pour tous les citoyens.

Existerait-il une solution « simple » qui nous permette, de payer nos impôts (la partie du coût de gestion de notre société) en fonction des richesses que chacun récupère de nos échanges?

Un petit livre qui ne nécessite pas de sortir des grandes écoles pour pouvoir être compris par le plus grand nombre de vrais citoyens.

Beaucoup d’autres questions sont abordées dans les 45 chapitres de ce surprenant livre de 190 pages!

Difficile de faire une couverture qui peut correspondre au contenu des pages intérieures. Pourtant, avec un peu de chance, nous voyons un pont qui relie une ile. Ceux qui connaissent, reconnaîtront le pont de l’ile de Ré. Mais quel rapport avec le contenu du livre ? Au verso de l’écrit, on peut aussi voir trois personnages qui semblent arriver d’un passé très ancien. Disons pour simplifier, l’origine de notre société, du temps où il n’y avait que le troc qui permettait d’échanger des services pour continuer à vivre. A cette époque, il était difficile de devenir riche. Puis la notion de protection contre le brigandage avec de véritables armées dévouées à un châtelain ou un prince quelconque, a justifié le prélèvement d’un impôt. Justifié au départ, il est vite devenu insupportable pour les plus faibles. Les révolutions ont alors permis d’apporter plus de justice car c’était toujours les mêmes qui fabriquaient la richesse sans en profiter. Il y a eu alors une lueur d’espoir et le développement des technologies a permit aux plus faibles de profiter un peu plus des richesses développées par le progrès. Les « princes et les châtelains » ont quasiment disparus et ils ont été remplacés par des « capitaines d’industries », des hommes d’affaires internationales, des hauts responsables politiques qui, sous le couvert d’une « protection de bien être sanitaire et sociale » ont décidé des montants minimum qu’il faut allouer aux plus faibles pour leur travail. Travail qui enrichit outrageusement ces mêmes hauts personnages et leurs actionnaires.

Alors, l’ile de Ré ? Et bien, elle est superbe et elle plait beaucoup. Son attrait est tel qu’elle est remplie de belles demeures secondaires appartenant à ces hauts personnages. Ils font monter les prix, augmenter les impôts locaux et rendent la vie très difficile aux autochtones qui finissent par partir. Comment est-il possible que les soi-disant « responsables politiques » ne fassent rien pour améliorer la situation ?

C’est un peu le but de ce livre de proposer un rééquilibrage automatique des impôts en fonction de la richesse récupérée par chacun lors des échanges de services, bases de la construction de nos sociétés depuis la nuit des temps.