Le dimanche, 10 juillet 2022
A l’attention de : M. Richard Ramos
Député à l’Assemblée nationale
Bonjour monsieur Ramos,
J’ai beaucoup apprécié votre intervention aux 4 vérités de Télématin du samedi 9 juillet.
Elle me donne un peu l’espoir qu’une partie des instances politiques dirigeantes comprennent enfin que le « Racket », institué par les grands groupes industriels grâce à la puissance des « lobbies » qu’ils entretiennent et à la complaisance intéressée de beaucoup trop de politiques réfugiés en « partis », est une plaie économique pour l’ensemble des citoyens de notre pays. Il est en grande partie responsable de notre déficit chronique.
Tant que l’on ne comprendra pas que notre société ne peut vivre que grâce aux échanges de services ou de produits que nous pratiquons entre nous et que le partage des coûts de gestion de notre pays (nos impôts) doit être intégralement proportionnel aux richesses que chacun tire de ces échanges, nous ne pourrons pas construire une société auto-équilibrée économiquement.
Monsieur Ramos, je vous ai senti opiniâtre et je trouve cela très bien. Le contenu du livre que je vous offre propose un panel d’idées simples et ajustables permettant de faire d’énormes économies de gestion. Il met aussi le doigt où ça fait mal, mais la fausse politesse ne représente que l’intelligence des sots et il n’y a plus de temps à perdre.
Ne vous offusquez pas de sentir l’animosité à l’encontre de la vaste pagaille du monde politique et de ses fonctionnaires qui ne semblent capables que de gérer, seulement au moins mauvais, les détails d’un système qu’il faudrait revoir de fond en comble. Ne jugez que les idées ; je ne tente que d’aider mon pays à la mesure de mes moyens et je suis loin d’être un écrivain.
J’entretiens également un site internet pour la transparence du projet fin que chacun puisse vérifier la justesse des données sur lesquelles s’appuie mon regard de notre société. Vous y trouverez les courriers des différents envois d’exemplaires et les réponses obtenues.
Monsieur Ramos, je pense que votre temps est compté et je vous remercie pour celui que vous avez pris à lire ce courrier si c’est le cas.
Je joins deux exemplaires à ce courrier.
Recevez mes plus vives considérations.
Michel Suire