Plus c’est gros… Plus ça passe !!!

C’est si souvent vrai !

Tous les ans notre pays fait l’inventaire des richesses créées par les français : environ 2 500 milliards d’euros pour l’année 2021. Une augmentation quasi constante depuis 1949 mis à part 2 incidents notoires en 2009 et 2020.

C’est le cumul des richesses produites par tous les travailleurs et par la gestion qu’en font les décideurs. Ce cumul sert à faire vivre les français et alimente les caisses de l’état. Nous pouvons nous demander si la répartition de cette richesse est bien idéale au sein de la société et permet à tous ceux qui la créent, de vivre correctement. C’est un minimum acceptable et ce devrait être un symbole de fierté de la part des élus qui gèrent notre pays.

Personne en devrait douter qu’ils soient attachés viscéralement à cet objectif. Surtout que les richesses représentées par ce P.I.B. ont été multipliées par 189 en 72 ans.

Mais alors comment se fait-il que les salaires les plus faibles perdent constamment du pouvoir d’achat, que le nombre de ceux qui sont en dessous du seuil de pauvreté augmente sans cesse et que les dirigeants et les gestionnaires de ce trésor national deviennent toujours plus riches ?

Le salaire médium de 50% des français ne dépasse pas 1 850 € et le salaire moyen est 38% plus élevé. En réalité, seulement un peu moins de 30% des salariés sont au dessus du salaire moyen de 2558€.

C’est essentiellement dans cette partie que se trouve l’ensemble des gestionnaires et des décideurs. Ce sont eux aussi qui déterminent ce que 70% de salariés doivent se satisfaire. Malgré l’augmentation constante des richesses du P.I.B. attribuable au travail des 70% les moins payés, ces derniers n’en profitent presque pas. Pire et difficile à comprendre, les plus bas salaires de cette tranche perdent du pouvoir d’achat à chaque réajustement du SMIC.

Depuis plusieurs années, ce réajustement est toujours plus faible que la progression du P.I.B. C’est vers la tranche des 30% que l’on octroie les meilleures progressions alors qu’ils en ont moins besoin.

Il n’y a pas de fumée sans feu et ce n’est pas un hasard si dans cette catégorie nous trouvons les décideurs et les gestionnaires politiques des finances de l’état et de la société.

Là, l’efficacité de gestion financière dont ils se parent dans les discours ne suffit pas à cacher le désastre : Ils osent accumuler 3 000 milliards d’euros de déficit pour notre pays. Le pire réside dans le fait incorrigible qui amplifie le phénomène : c’est qu’ils s’attribuent toujours des millions de défiscalisation pour bons « enrichissements personnels » (j’abuse un peu, il fallait lire « investissement citoyen »).

Il ne semble pas y avoir d’urgence pour combler cet énorme trou dû à l’efficacité de gestion financière qu’il revendique depuis plusieurs dizaines d’années.

Mais ils ont peut-être trouvé une astuce, à première vue, bien sûr !

Écoutez bien : c’est un fait de grande actualité. Notre système de retraite risque d’être déficitaire en 2030 d’environ 17 milliards d’euros. Il faut donc prendre les devants, et c’est là que le gros poisson surgi. Une urgence absolue pour nos décideurs.

Bien plus impérative que les 3 000 milliards de déficit actuel du pays qui deviendront environ 4 500 milliards en 2030 s’ils continuent leur excellente gestion.

C’est quand même étrange de se focaliser sur un petit 17 milliards alors qu’une montagne de 4 500 milliards de dettes nous pend au nez dans 7 ans ?

Mais qui est-ce qui fabrique la richesse dans ce pays, les « décideurs-gestionnaires » ou les « travailleurs » ?

Ne vous méprenez pas, ils le savent parfaitement, ne serait-ce parce qu’ils en profitent pleinement.

Et en faisant travailler tout le monde deux ans de plus, ils sont sûrs que les 70% de travailleurs vont continuer d’enrichir les 30% de gestionnaires et décideurs.

C’est aussi 5 000 milliards d’euros (P.I.B. 2021) de plus à l’horizon 2066, sans compter l’inflation.

Cela pourrait être un objectif remarquable auquel il faudrait adhérer… mais comme ils ne veulent pas attaquer le renflouement du déficit, nous serons probablement à plus de 10 000 milliards d’euros en 2066 et il en manquera encore 5 000.

Mais je ne pense pas que cette idée les a effleurés.

Quand à la retraite, personne ne doit être aussi naïf par rapport aux éléments présentés avec aussi peu de consistance. Le montant des indemnités ne dépendra toujours que du montant des salaires accumulés. Il n’y aura que de meilleurs salaires pour générer de meilleures indemnités.

Et les esprits conservateurs, qui vont argumenter une trop grosse inflation, vont devoir réviser leur copie.

En réalité, ce n’est pas l’augmentation des plus bas salaires qui est responsable d’inflation, c’est la « sur-indexation des plus hauts salaires » dans la tranche des 30% qui est responsable à 90% de cette inflation comme le démontre le dossier que vous pouvez télécharger en cliquant sur le lien.

Si l’on veut résoudre une partie de ces problèmes, il faut d’abord commencer rapidement par plancher sur un meilleur partage des richesses dégagées par le travail de tous (des riches comme des pauvres).

Une autre chose importante et facile à comprendre dans la lecture du dossier, les ressources ne doivent plus être augmentées en %, mais en valeur fixe pour tous, correspondant à une partie de la progression du P.I.B. Et on ne doit plus permettre à qui que ce soit de se soustraire à l’impôt par de la défiscalisation, du moins pas en présence d’un si gros déficit.

Là, c’est une question d’honnêteté intellectuelle… Mais tout ce beau monde, est-il honnête, surtout quand les sénateurs qui veulent supprimer les régimes spéciaux des retraités ne parlent pas de toucher à leur propre régime ?

Il est étrange que les journalistes, soient complètement absents de ces remarques qui manquent de servilité à l’attention des élus. Peut-être ne veulent-ils pas cracher dans soupe, eux aussi font probablement partie de la tranche des 30% dont nous avons parlé plus avant. Et puis peut-être, craignent-ils le courroux des financiers qui maîtrisent leurs revenus.

Dans tous les cas, plus c’est gros… plus ça passe !

Allez, je vais vous faire une confidence « vulgaire » : y’en a marre des bourrins et des bénis oui-oui qui ne veulent pas s’informer un minimum et réfléchir. Et il est sûr que je préfère voter blanc plutôt que pour de faux intellectuels qui ne savent que s’écouter bien parler. Le vote blanc, c’est mon 49.3 à moi !

Quand est-ce que nous allons arrêter les conneries ?

Si seulement les plus courageux voulaient faire passer le message …

Michel Suire

Histoire de poissonnier

Il faut commencer par le pêcheur.

Vous conviendrez aisément qu’il ne faut pas acheter la bête avant qu’elle soit péchée. Surtout quand on voit le résultat de la pêche que le sportif raconte après quelques apéros !

Si vous allez voir le poissonnier, les choses sont plus claires. Le beau poisson est là, mais s’il est trop cher, il y restera. Le poissonnier, même si à tord on lui prête un mauvais caractère, est loin d’être idiot. Lui, il sait bien qu’il ne faut pas acheter un poisson trop cher à la criée pour ne pas le vendre.

C’est la base d’un échange de service sain, sinon les clients pourraient être considérés comme des esclaves et le poissonnier lui-même ne le veut pas. Il ne voudrait pas être esclave, lui aussi dans d’autres domaines correspondant à ses besoins.

Poisson électrique ?

Que faut-il penser de ces fournisseurs d’énergie (es-diplômés !) qui achètent des « Mégawatts » 20 fois plus chers pour les revendre quelques mois après sans prévenir leurs clients. Sans doute le font- ils avec l’espoir secret de faire 20 fois la marge habituelle sans avoir plus de travail et considérant que les clients sont esclaves d’un contrat avalisé par nos politiques à l’image de ce qui c’est passé récemment pour les Ehpad.

Là encore il faut réfléchir un peu plus. Même si « plus c’est gros, plus ça passe ! » (Comme le poisson du pêcheur autour du comptoir), il ne faut pas être dupe.

Eh oui, on ne peut pas stocker l’électricité, il faut la consommer de suite. Si ces fournisseurs, complices du système, ne s’était pas positionnés trop tôt, les prix auraient automatiquement chutés. Mais ils se sentaient protégés par des contrats dont on ne lit jamais toutes les petites lignes illisibles. Ce qui devrait être interdit par « la concurrence et les prix ».

Ces fournisseurs d’énergie sont plus sots et largement plus malhonnêtes que les poissonniers !

Dans tous les cas, ce ne sont pas des professionnels de la vente et, comme les politiques, ils ne veulent pas être responsables de leurs erreurs.

Alors, faites passer…

Michel Suire

Foire d’empoigne !

L’observation des comportements humains pendant cette période est très intéressante pour mesurer l’honnêteté objective des différents candidats. Au premier tour, les trois premiers se partageaient 70% des suffrages : 27,8 %, 23,1% et 21,9%. Beau score pour le troisième, mais il en fallait que 2 pour le deuxième tour !

Pour la suite, la deuxième se projetait bien première et si elle finit deuxième pour le tour suivant, elle considère qu’elle a gagné !

Drôle de mentalité… et chacun y va de sa sauce pour conjurer un sort déjà jeté : « les 18 millions d’électeurs n’ont pas voté pour le premier, mais soit-disant pour empêcher la deuxième d’être première ! »

Sans doute que les 13 millions de votes pour la deuxième, n’étaient pas destinés à empêcher le premier d’être à sa place ?

Sans vouloir être méchant, ce sont des réflexions de maternelle, indignes des représentants qui les professent en prétendant montrer au peuple (les discours viennent toujours d’en haut) « sagesse et intelligence ». Et beaucoup de sympathisants reprennent ces arguments en cœur comme au temps de Trump avant d’attaquer le pentagone.

On peut voir tout de suite les limites de la notion des responsabilités sociales de ces anciens candidats. En réalité, ils rêvent de mettre le feu aux poudres pour importuner le challenger.

 La marche en avant devrait être leur premier souci politique puisque les cartes sont jouées et qu’ils prétendent adorer leur pays. Auraient-ils d’autres objectifs ?

A travers cet examen rapide, peu de monde semble être surpris de sa ressemblance avec les prophètes des différentes religions. Ils parlent tous du bien être absolu et de la libération spirituelle de l’étreinte des forces du mal et de la tentation pour lesquels ils amènent « la » solution. Il faut dire, qu’à l’inverse du corps des humains et de ses ressentis physiques, l’esprit est bien difficile à rassurer. Pour beaucoup c’est une quête perpétuelle de solutions à chercher en face des contrariétés ressenties entre ce que ces oracles leur font miroiter et la réalité qu’ils subissent. Alors si le nouveau candidat prétend avoir le remède, l’agrément vers les solutions qu’ils proposent sera aussi fort que le ressenti, des attentes non tenues par le précédent, sera puissant.

Il faudra du temps pour réparer les erreurs si ces perspectives ne sont pas les bonnes.

Est-il bien de croire n’importe comment ? Est-ce que ces prophètes se rendent compte que ce sont les propres vies des citoyens avec lesquelles ils jouent ?

Ne pourrait-on pas construire des méthodes pour ne pas tomber dans des pièges verbales aussi simples ?

Nous sommes de plus en plus passionnés par une nature qu’il faut à tout prix protéger. Elle est étudiée sous tous les angles et ne croyez-vous qu’il serait opportun d’en tirer quelques leçons ?

La vie y est présente sous des millions de formes différentes et il n’y a que nous, stupides animaux, qui croyions aux improbables puissances occultes sous la triste raison que quelqu’un l’a dit !

Comment est-il possible de croire sans demander la moindre preuve ?

Et ceci dans tous les domaines.

Si l’on veut construire une société sérieuse, il est de la plus grande urgence d’arrêter faire croire à nos enfants que les pères noëls existent !

Dette du Pays.

Vous pouvez exprimer vos commentaires pour cet article en bas de page. Concernant vos commentaires pour le chapitre « Quel avenir pour ces propos ?« , c’est ici.

A la page 127, nous parlons de la « dette gigantesque » qui semble bien être le dernier souci de nos élus.

C’est pourtant un très gros handicap financier qu’ils laissent pour l’avenir de nos enfants.

Afin de bien visualiser ces sommes qui sont souvent en dehors de notre imaginaire, les médias affichent souvent la part qui plane au dessus de la tête de chaque français s’il fallait rembourser cette dette faramineuse que l’irresponsabilité de nos élus laissent s’échapper quotidiennement et qui fait le bonheur des banquiers.

Nous sommes 66 millions. Notre dette, selon « Contribuables Associés » qui se penche continuellement sur les aberrations financières de notre état, approche les 2 881 Milliards d’euros.  Ce qui semble peser 43 650 € sur les épaules de chaque citoyen quelque soient son âge et sa conditions.

C’est déjà faramineux ! A bien y regarder et si c’était aussi simple, il est évident que le calcul est faux.

Pour rembourser, il faut un minimum de revenu.

Je ne pense pas que les jeunes de moins de 19 ans, qui ne représentent pas moins de 16 millions d’individus, puissent participer.

Il faut isoler aussi les 9,3 millions de personnes au dessous du seuil de pauvreté.

De même il y a 2,25 millions de personnes qui ne gagnent que le SMIC.

Alors, il reste seulement « 38,45 millions » de français sur qui l’on « pourrait » compter pour rembourser cette somme et à conditions qu’ils n’aient pas d’autres emprunts.

C’est donc plus de 75 000 €uros MINIMUM qui planent sur la tête des français qui le peuvent.

Pour respecter les critères d’endettement, il faudrait 15 ans à raison de 448 Euros mensuels sur un minimum de salaire de 1 357 €uros et sans autre engagement financier d’autre part pour solutionner la dette de cette manière.

Ne nous leurrons pas, avec la diminution des candidats engagés sur d’autres emprunts, la dette, pour les français solvables, approche plutôt les 100 000 €uros. Là c’est 598 euros pour un salaire de 1 814 euros toujours pendant 15 ans.

On voit rapidement que les banques ont encore de beaux jours devant elles, quelque soit le profil adopté. Et quand elles font des erreurs de gestion, elles sont sauvées par nos impôts grâce aux politiques.

La collusion d’intérêts ne semble pas très loin…

Sincèrement, ne pensez-vous pas que, s’il devait être effectif, ce remboursement devrait être proportionnel au profit que chaque personne que chaque citoyen a récupéré à travers ses échanges sociaux ?

Surtout que les plus hauts revenus se sont bien servis sans s’inquiéter de la maîtrise de ce déficit. Beaucoup d’entre-eux sont les donneurs d’ordre de la gabegie financière. Ils ont récupéré beaucoup de richesses et n’ont pas acquitté la juste contrepartie des échanges pratiqués avec notre société commune.

Ils aimeraient nous convaincre de continuer à voter pour eux afin d’être disculpé de leur entière responsabilité.

Ne soyons pas idiots ! Votons Blanc.

Covid : Intox ou Triche ?

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La Covid-19 reste une bête noire que l’on a encore du mal à comprendre et à apprivoiser.

Sans être scientifique, et en sollicitant un tantinet, curiosité et logique, il est possible de se faire une description relativement juste de ce phénomène épidémique mondial.

Il est vrai que l’on risque de se frotter au gratin de ceux qui considèrent que l’on ne peut pas parler de ces choses sans avoir fait de longues années d’études. Nous pourrions tout de même leur opposer le fait qu’ils ne sont même pas d’accord entre eux après toutes ces années. Et puis, s’il avait fallu attendre autant de temps pour trouver une solution qui convienne à tout le monde en face de ce nouveau problème très dangereux, leurs incohérences auraient été à l’origine d’encore plus de drames.

Ces incohérences font aussi le lit des Fake-news qui trompent de nombreux individus. Quand la raison n’est pas bien assise, il est facile, pour ceux qui n’ont pas fait un véritable tour d’horizon de croire n’importe qui.

Comme dans le chapitre de la page 78, nous ne devons pas prendre pour argent comptant ce qui se dit et toujours tenter de vérifier s’il n’y a pas de faille dans les propos.

Prenons nous donc par la main et tentons de débroussailler le terrain.

Quel est donc ce truc infiniment petit qui peut nous faire mourir?

Il fait partie des microbes ou micro-organismes que l’on ne peut pas voir à l’œil nu. On le range parmi les virus qui sont au moins 20 fois plus petits que les bactéries. Pour vivre et se multiplier, le SARS-CoV-2, virus de la Covid-19, doit parasiter une cellule de notre corps à l’aide de ses particules virales ou « virions ».

Et oui, c’est un élément doté d’intelligence qui veut vivre lui aussi. Bien sûr, ce n’est pas un animal courant et on ne le verra pas mourir… que faut-il penser de la « philosophie » des végétaliens ? Il faut dire aussi que notre corps est truffé de micro-organismes possédant une bonne ou mauvaise intelligence. On dit « pathogène » pour les mauvais et « saprophyte » pour les gentils. Facile de se souvenir, si « ça profite », c’est bien.

Si le méchant SARS-CoV-2 parasite une cellule du corps pour se reproduire, il se fait remarquer et apparait comme un ennemi. Pour notre corps, c’est un nouveau problème. Envoyer les bons anticorps pour détruire un virus qu’il ne connait pas encore, demande plus d’énergie que pour les routines ordinaires. Notre intelligence organique doit apprendre des nouveaux codes et ce n’est pas gratuit. Nous faisons de même pour apprendre de nouveaux gestes (métiers, sports, loisirs,…) avant qu’ils ne deviennent automatiques et nous coûtent moins d’efforts.

Et oui, c’est tout con; Comme partout, pour apprendre, il faut un minimum d’intelligence et de l’énergie. (Non, ne pensez pas aux politiques qui savent toujours tout!)

Nous venons de décrire le mécanisme d’attaque du virion SAR-COV-2 et il est probable qu’il ne fera pas long feu si il est tout seul dans le corps humain.

Mais il est petit, volatile et peut se déplacer en grand nombre comme des escadrilles dans les courants d’air ambiants. En respirant une escadrille complète, ce n’est plus le même problème pour le corps qui doit réagir à une invasion qu’il ne connait pas.

Une réponse inflammatoire peut même aller jusqu’à une véritable allergie d’anticorps fabriqués en surnombre, et non optimisés pour la défense, que les médecins tentaient de canaliser avec des produits à base de corticoïdes.

Voilà le sort des non-vaccinés au début de la pandémie.

Pour les autres, le vaccin leur a appris à fabriquer les bons anticorps et en face du SARS-CoV-2, les organismes ne sont plus surpris et font le travail comme il faut, sans excès ni trop de débauche d’énergie s’il n’y a pas de comorbidité.

Ce développement permet de comprendre la tricherie colportée par les Antivax qui extrapolent et détournent les résultats normaux d’une étude faite par le Royaume Uni. Cette étude constate ce qui vient d’être décrit et confirme indirectement la réduction des anticorps en surnombre pour les vaccinés. Juste ce qu’il faut!

« Le gouvernement britannique admet que les vaccins ont endommagé le système immunitaire naturel des personnes doublement vaccinées. Le gouvernement britannique a admis qu’après une double vaccination, on ne sera plus jamais en mesure d’acquérir une immunité naturelle complète contre les variantes du Covid – ou éventuellement contre tout autre virus. Regardons donc la « vraie » pandémie commencer maintenant ! Dans son « Rapport de surveillance du vaccin COVID-19 » de la semaine 42, l’autorité sanitaire britannique reconnaît, à la page 23, que « les niveaux d’anticorps N semblent être plus faibles chez les personnes infectées après deux doses de vaccin ». Il est également précisé que cette baisse des anticorps est en fait permanente. Qu’est-ce que cela signifie ? Nous savons que les vaccins n’empêchent pas l’infection ou la transmission du virus (en fait, le rapport indique ailleurs que les adultes vaccinés sont désormais beaucoup plus susceptibles d’être infectés que les adultes non vaccinés). Les Britanniques constatent maintenant que le vaccin altère la capacité de l’organisme à produire des anticorps après l’infection, non seulement contre la protéine spike, mais aussi contre d’autres parties du virus. En particulier, les personnes vaccinées ne semblent pas produire d’anticorps contre la protéine de la nucléocapside, l’enveloppe du virus, qui est un élément crucial de la réaction chez les personnes non vaccinées. À long terme, les personnes vaccinées sont beaucoup plus vulnérables à d’éventuelles mutations de la protéine spike, même si elles ont déjà été infectées et guéries une ou plusieurs fois. Les personnes non vaccinées, en revanche, acquerront une immunité durable, voire permanente, contre toutes les souches du prétendu virus après l’avoir contracté naturellement, ne serait-ce qu’une fois. »

Le passage écrit en rouge relate un constat normal de l’efficacité du vaccin concernant l’avalanche, allergique et souvent meurtrière, de création des anticorps.

L’écriture verte, constitue l’essentiel de la polémique. Concernant la dernière phrase mensongère, il est dommage pour les « personnes non vaccinées » et « décédées » que cette prémonition n’ait pas fonctionné !

A chacun de juger en son âme et conscience !

Photo: L’infiniment Grand et l’infiniment Petit se ressemblent presque infiniment!

Fake News

Vous pouvez exprimer vos commentaires pour cet article en bas de page. Concernant vos commentaires pour le chapitre « Représentativité des partis de notre pays ? », c’est ici.

A la fin du chapitre « Représentativité des partis de notre pays ? », j’émets l’idée que tous leurs discours devraient être transposés en écrits pour être pénalisés en cas de mensonges démagogues. (page 143)

Ainsi, les citoyens pourraient compter sur une instance juridique qui recadrerait la malversation politique par des amendes et des obligations d’excuses. Pour ne s’en tenir qu’à des extrémistes relativement mesurés en dehors de chez nous, il aurait été beaucoup plus difficile pour ‘Trump’ ou ‘Bojo’ d’accéder au pouvoir.

Une sorte de protection sociale politique. Ne serait-ce que pour que les citoyens puissent avoir un minimum de confiance dans leurs propos, les hommes politiques devraient s’obliger à mettre en place un tel système. La notion d’équité dans une relation de confiance ne fait pas partie des exigences des élus à l’attention des électeurs. Nous allons sûrement attendre encore longtemps pour cela.

D’un autre coté et devant l’importance des effets de la désinformation, les fake news, qu’ils ne savent pas maitriser, constituent un contre pouvoir qui commence à leur faire peur. Là, ça ne peut plus attendre. Il faut lutter contre ces mauvaises informations qui viennent d’on ne sait où et sèment le trouble dans leurs propos qui ne semblent, souvent, pas plus garantis d’objectivité.

Je ne sais pas si je m’exprime bien, mais l’urgence est arrivée. Vous pouvez lire cette article du site « The Conversation ». Il est étonnant de constater que nos politiques commencent à avoir peur du laisser aller des grosses plateformes de diffusion à ne pas contrôler la désinformation. Par contre, même s’ils savent pertinemment que nombres d’entre eux ne sont pas honnêtes dans la diffusion de leurs messages, ils sont loin de vouloir exiger pour eux-mêmes le contrôle qu’ils veulent imposer aux autres. Dommage que nombre d’organisations associatives ne portent le combat que d’un seul coté.

Nos impôts.

Vous pouvez exprimer vos commentaires pour cet article en bas de page. Concernant vos commentaires pour le chapitre « Y-a-t-il un loup dans le système ?« , c’est ici.

Ci-dessous, un copie du tableau de l’Insee sur le cumul de nos impôts classés par postes. Bien que ce ne soit pas toujours facile à comprendre (remarque X), c’est quand même une bonne visualisation de leur répartition.

Impôts
Tableau en milliards d’euros
201620172018 (r)2019 (r)2020% par rapport au total 2018
Taxes du type TVA¹154,5162,0167,7174,0161,125,56%
Impôts et droits sur les importations, à l’exclusion de la TVA2,62,72,92,82,9
Impôts sur les produits, à l’exclusion de la TVA et des impôts sur les importations99,9106,4112,4115,1110,1
   dont :
   taxe intérieure de consommation sur les produits énergétiques27,929,631,931,427,0
   taxes sur les tabacs11,912,113,113,615,4
Impôts sur les salaires et la main d’œuvre35,236,336,344,044,6
   dont taxes sur les salaires13,513,913,313,514,5
Impôts divers sur la production67,469,272,275,276,3
   dont :
   cotisation sur la valeur ajoutée des entreprises13,513,514,215,215,0
   cotisation foncière des entreprises6,56,76,87,17,1
   taxe foncière33,234,035,035,836,4
   contribution sociale de solidarité des sociétés (C3S)3,63,63,83,94,1
Impôts sur le revenu²226,4237,0254,3263,5262,4
   dont :
   contribution sociale généralisée (CSG)96,699,4125,3126,5123,8
   contribution au remboursement de la dette sociale (CRDS)7,07,27,47,77,4
   impôt sur le revenu des personnes physiques²72,974,173,875,574,110,80%
   impôts sur les sociétés y compris majoration et frais de poursuite²30,435,328,432,436,8
Autres impôts courants27,828,522,719,616,0
   dont :
   taxe d’habitation18,819,316,913,910,5
   impôt de solidarité sur la fortune (ISF)4,85,11,82,12,00,27%
Impôts en capital12,514,314,415,315,0
dont mutation à titre gratuit12,314,214,315,115,0
Cumul des impôts626.4656.4682.9709.5688.3
  • r : données révisées.
  • 1. Le montant total de la TVA excède légèrement le montant présenté ici. En effet, seule la partie classée en « impôts de type TVA » figure ici. La TVA sur les subventions, au titre de la sous-compensation agriculture, est reclassée par l’Insee en autres impôts sur la production.
  • 2. L’impôt sur le revenu des personnes physiques, l’impôt sur les sociétés et la taxe sur les salaires sont présentés nets des crédits d’impôts.
  • Lecture : en 2020, la TVA est de 161,1 milliards d’euros.
  • Champ : France.
  • Source : Insee, comptes nationaux – base 2014.

Remarque X: Je disais plus haut: « difficile à comprendre », parce que dans la ligne correspondant à « Impôts sur le revenu² » c’est à dire 254,3 milliards d’€uros, ils sont détaillés dans les lignes en dessous. Mais le montant du cumul de ces lignes est de 257,6 milliards, soit 3,3 milliards de plus. Pourquoi ?

Dans ce tableau, nous voyons que l’impôt sur le revenu des personnes physiques (73,8 Mds) ne représente que 10,80% de leur totalité (682,9 milliards). Les 89,20% complémentaires sont aussi réglés par les prélèvements issus de la valeur ajoutée de tous les échanges consommés quels qu’ils soient (services, matériels, finances…) et par l’ensemble de la population.

Ce sont les 11% les plus riches de la population qui financent 52 milliards de ces 73.8 Mds (7o %) ce qui parait être une injustice. Mais ces 11% s’octroient 70% du revenus des ménages soit 1014 Mds d’euros sur le 1440 Mds de RDB. Par rapport au Revenu Disponible Brut, l’impôt sur le revenu est strictement proportionnel à ce que chaque partie gagne.

Ceci n’est probablement pas le cas pour le reste des 610 milliards d’impôts; Ne serait-ce que parce que la valeur ajoutée générée par les aides pour les plus faibles retourne dans l’escarcelle des mieux lotis. Ce sont eux également qui bénéficient, grâce à leurs meilleurs revenus, de dégrèvements d’impôts sur leurs investissements. Ils ne sont en rien accablés par rapport à ceux pour qui il ne reste plus rien à la fin du mois.

Un peu de bon sens serait nécessaire à nos politiques pour qu’ils arrêtent de prétendre que les riches sont accablés d’impôts. Qui ne ramasserait pas un billet de 100 Euros tombé seul dans la rue? Sûrement personne. Et ils s’imaginent, sans doute, que si c’est un billet de 20 euros, la personne riche ne le ramassera pas! Cette mentalité politique de prétendre tout savoir est vraiment idiote.

En réalité, cette stratégie permet de masquer la réalité qui fait que, plus on multiplie le nombre d’échanges avec les citoyens, moins on génère de taxes et d’impôts par échange. Il suffit de se rendre à la page 104 du livre pour comprendre une partie de cette réalité. C’est la gestion de l’économie de notre pays qui permet cette aberration et les politiques devraient se pencher sur sa compréhension et la rendre plus équitable avant de prétendre des idioties facilement vérifiables avec les chiffres de la nation.

Une personne entreprenante qui a déjà réussi, ne s’embarrasse pas avec des idées aussi terre à terre. Elle prendra toujours le maximum qu’il peut exister, même si ce n’est qu’un billet de 5 Euros!